Franck Muller est une entreprise de haute horlogerie fondée par le personnage qui porte le même nom en 1991 à Genève. Suite à une collaboration avec Vartan Sirmakes, un Arménien fabricant de boîtiers, les deux compères se lancent dans la fabrication de montres à complication. Cette faculté va permettre à la maison d’ériger son empire dans le monde très restreint des montres de luxe.
Franck Muller avait compris l’importance de la demande sur le marché. Les collectionneurs préfèrent les montres uniques et compliquées. C’est ainsi qu’en 1983, la marque a mis au point ses premières montres-bracelets.
Avec le mouvement compliqué, les ventes décollent à une vitesse incroyable et la renommée de la marque suivait également ce rythme. Franck Muller a aussi initié le mouvement tourbillon de face. Si, auparavant, cette complication horlogère n’était visible que de dos, la marque a tenté de le rendre discernable de face. Avec cette innovation conséquente, elle obtient de suite le titre de « maître des complications horlogères. »
En 2015, la marque attaque en justice la marque japonaise Frank Miura pour avoir copié son nom et créer une confusion. Mais cette lutte fut vaine et elle perdra le procès. L’année suivante, elle échoue également un rapprochement avec la Swatch Group.
Comment Franck Muller a révolutionné la montre pour homme
Franck Muller est un grand adepte des complications horlogères. Chacune de ses créations ressort cette maîtrise et elle en a fait son art. Elle en a également fait la preuve dans le design de ses modèles. En apprivoisant un style unique et innovant, chaque objet est une vraie œuvre d’art. Cependant, la marque n’a pas oublié la valorisation du talent artisanal. Elle a préservé la tradition horlogère d'autant pour confection ses gravures. Entièrement faite à la main, elle rehausse ainsi l’art noble de son atelier.
La marque démontre une inspiration très futuriste dans le dessin de ses montres dédiées aux hommes. Chacune d’elles affiche une silhouette particulière et unique. La transparence est de mise en mettant toujours à l’évidence les complications horlogères. Elle a dans ses placards 6 collections qu’elle destine à la gente masculine.
La Cintree Curvex est une montre qui atteste de la forme iconique de Franck Muller. La Long Island, quant à elle, rend hommage à l’art déco. La master square revisite la pureté géométrique et le design symétrique. La Round est une forme classique qui adopte les mouvements mécaniques à remontage manuel ou automatique dotée de quantièmes perpétuels et des tourbillons. La Skafander est la montre étanche à la forme iconique d’un tonneau de la marque. Et enfin, la Vanguard affiche une esthétique sportive et captivante.
La marque de l’audace
Franck Muller marque bien son siècle en apportant un air nouveau à l’intelligence horlogère. Elle est plus qu’innovateur. Elle a brillamment relevé un vrai défi en apportant à la haute horlogerie tout son mérite. La maison met en avant l’esthétique. Elle accentue des dessins qui définissent toute sa personnalité. Elle est une marque qui aime la singularité. Que ce soit dans la manière de percevoir ou dans la façon d’appréhender. Elle veut prouver une maîtrise de la technologie et en a fait sa spécialité. Franck Muller c’est voir le luxe autrement. Ce n’est pas juste des diamants, de l’or ou du cuir, c’est toute une combinaison d’ingrédients qui parfait un produit digne d’un vrai chef-d’œuvre.
La maison se tourne vers les hommes qui aiment être distingués tout en étant en symbiose avec la tendance. Ceux qui préfèrent le style des beaux-arts alliés à la configuration de la décoration. Ceux qui apprécient et reconnaissent la valeur du fait main. Franck Muller est toute une leçon, une philosophie de vie. Elle appelle à l’ambition et l’espoir. Elle infuse une ingéniosité exceptionnelle qui lui a fait mériter le pionnier de l’excellence. Elle s’adresse ainsi aux hommes qui adhèrent à cette valeur. Elle parle à ceux qui osent et à ceux qui ne reculent devant rien. Ceux qui se donnent un objectif et qui y travaillent pour l’atteindre en tout honneur.
